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Pourquoi les éoliennes sont parfois arrêtées ?
Pourquoi les éoliennes sont parfois arrêtées ?
Les éoliennes tournent 85% du temps en moyenne. Plusieurs causes peuvent expliquer l’arrêt des éoliennes :
- Lorsque la vitesse du vent est trop faible, en dessous d’environ 10 km/h (2,8 m/s), ou lorsque qu’elle est trop forte, au-dessus de 95 km/h (25 m/s), les pales sont mises en drapeau et arrêtées.
- Les machines font régulièrement l’objet de maintenance préventive ou corrective qui nécessitent leur arrêt ponctuel.
- Des travaux de maintenance et de réparation des réseaux électriques de transport ou de distributions réalisés par ENEDIS peuvent aussi nécessiter un arrêt des éoliennes.
- Les éoliennes peuvent être brider pour des enjeux acoustiques ou de biodiversité.

Pourquoi les éoliennes sont parfois arrêtées ?
Pourquoi les éoliennes sont parfois arrêtées ?
Les éoliennes tournent 85% du temps en moyenne. Plusieurs causes peuvent expliquer l’arrêt des éoliennes :
- Lorsque la vitesse du vent est trop faible, en dessous d’environ 10 km/h (2,8 m/s), ou lorsque qu’elle est trop forte, au-dessus de 95 km/h (25 m/s), les pales sont mises en drapeau et arrêtées.
- Les machines font régulièrement l’objet de maintenance préventive ou corrective qui nécessitent leur arrêt ponctuel.
- Des travaux de maintenance et de réparation des réseaux électriques de transport ou de distributions réalisés par ENEDIS peuvent aussi nécessiter un arrêt des éoliennes.
- Les éoliennes peuvent être brider pour des enjeux acoustiques ou de biodiversité.

Les éoliennes font-elles du bruit ?
Les éoliennes font-elles du bruit ?
Les éoliennes sont soumises à la législation des Installations Classées pour la Protection de l’Environnement (ICPE) qui fixe les mesures nécessaires pour prévenir les impacts sur l’environnement et le voisinage : obligation générale d’implantation des éoliennes à plus de 500 mètres des zones destinées à l’habitation, niveau de bruit incident fixé par l’arrêté préfectoral d’autorisation (+3dB la nuit et +5dB le jour par rapport au bruit ambiant).
La réglementation française en matière acoustique est extrêmement stricte, c’est pourquoi des études sont réalisées en amont par un expert indépendant afin de déterminer une implantation optimale. Le bruit résiduel est mesuré à l’aide de sonomètres au niveau des habitations les plus proches de la zone d’études. Il est ensuite possible grâce à des simulations de prévoir la propagation du son autour de plusieurs éoliennes et de limiter ainsi tout risque de nuisance sonore.
Au-delà, les éoliennes font l’objet de perfectionnements techniques constants : engrenages de précision silencieux, capitonnage de la nacelle… Au bout des pâles un nouveau système est installé en forme de peigne appelé « système de serration », cela permet d’atténuer les turbulences ce qui réduit le bruit aérodynamique provoqué par les pales lorsqu’elles fendent l’air en tournant.

Pourquoi les éoliennes sont parfois arrêtées ?
Pourquoi les éoliennes sont parfois arrêtées ?
Les éoliennes tournent 85% du temps en moyenne. Plusieurs causes peuvent expliquer l’arrêt des éoliennes :
- Lorsque la vitesse du vent est trop faible, en dessous d’environ 10 km/h (2,8 m/s), ou lorsque qu’elle est trop forte, au-dessus de 95 km/h (25 m/s), les pales sont mises en drapeau et arrêtées.
- Les machines font régulièrement l’objet de maintenance préventive ou corrective qui nécessitent leur arrêt ponctuel.
- Des travaux de maintenance et de réparation des réseaux électriques de transport ou de distributions réalisés par ENEDIS peuvent aussi nécessiter un arrêt des éoliennes.
- Les éoliennes peuvent être brider pour des enjeux acoustiques ou de biodiversité.

Les éoliennes font-elles du bruit ?
Les éoliennes font-elles du bruit ?
Les éoliennes sont soumises à la législation des Installations Classées pour la Protection de l’Environnement (ICPE) qui fixe les mesures nécessaires pour prévenir les impacts sur l’environnement et le voisinage : obligation générale d’implantation des éoliennes à plus de 500 mètres des zones destinées à l’habitation, niveau de bruit incident fixé par l’arrêté préfectoral d’autorisation (+3dB la nuit et +5dB le jour par rapport au bruit ambiant).
La réglementation française en matière acoustique est extrêmement stricte, c’est pourquoi des études sont réalisées en amont par un expert indépendant afin de déterminer une implantation optimale. Le bruit résiduel est mesuré à l’aide de sonomètres au niveau des habitations les plus proches de la zone d’études. Il est ensuite possible grâce à des simulations de prévoir la propagation du son autour de plusieurs éoliennes et de limiter ainsi tout risque de nuisance sonore.
Au-delà, les éoliennes font l’objet de perfectionnements techniques constants : engrenages de précision silencieux, capitonnage de la nacelle… Au bout des pâles un nouveau système est installé en forme de peigne appelé « système de serration », cela permet d’atténuer les turbulences ce qui réduit le bruit aérodynamique provoqué par les pales lorsqu’elles fendent l’air en tournant.

Les éoliennes font-elles du bruit ?
Les éoliennes font-elles du bruit ?
Les éoliennes sont soumises à la législation des Installations Classées pour la Protection de l’Environnement (ICPE) qui fixe les mesures nécessaires pour prévenir les impacts sur l’environnement et le voisinage : obligation générale d’implantation des éoliennes à plus de 500 mètres des zones destinées à l’habitation, niveau de bruit incident fixé par l’arrêté préfectoral d’autorisation (+3dB la nuit et +5dB le jour par rapport au bruit ambiant).
La réglementation française en matière acoustique est extrêmement stricte, c’est pourquoi des études sont réalisées en amont par un expert indépendant afin de déterminer une implantation optimale. Le bruit résiduel est mesuré à l’aide de sonomètres au niveau des habitations les plus proches de la zone d’études. Il est ensuite possible grâce à des simulations de prévoir la propagation du son autour de plusieurs éoliennes et de limiter ainsi tout risque de nuisance sonore.
Au-delà, les éoliennes font l’objet de perfectionnements techniques constants : engrenages de précision silencieux, capitonnage de la nacelle… Au bout des pâles un nouveau système est installé en forme de peigne appelé « système de serration », cela permet d’atténuer les turbulences ce qui réduit le bruit aérodynamique provoqué par les pales lorsqu’elles fendent l’air en tournant.

Pourquoi les éoliennes sont parfois arrêtées ?
Pourquoi les éoliennes sont parfois arrêtées ?
Les éoliennes tournent 85% du temps en moyenne. Plusieurs causes peuvent expliquer l’arrêt des éoliennes :
- Lorsque la vitesse du vent est trop faible, en dessous d’environ 10 km/h (2,8 m/s), ou lorsque qu’elle est trop forte, au-dessus de 95 km/h (25 m/s), les pales sont mises en drapeau et arrêtées.
- Les machines font régulièrement l’objet de maintenance préventive ou corrective qui nécessitent leur arrêt ponctuel.
- Des travaux de maintenance et de réparation des réseaux électriques de transport ou de distributions réalisés par ENEDIS peuvent aussi nécessiter un arrêt des éoliennes.
- Les éoliennes peuvent être brider pour des enjeux acoustiques ou de biodiversité.

Y aura-t-il un impact sur le prix de l’immobilier ?
Y aura-t-il un impact sur le prix de l’immobilier ?
Plusieurs études ont démontré que la présence d’éoliennes n’a pas d’impact sur le marché immobilier local. Une étude réalisée en 2010 par Climat Énergie Environnement dans les Hauts de France démontre l’absence d’impact significatif de l’éolien sur la valeur des biens immobiliers autour de 5 parcs éoliens sur 240 communes de la région Nord-Pas-de-Calais. De même l’installation des parcs n’a pas provoqué de baisse du nombre de demandes de permis de construire.
Une autre enquête menée par le Conseil d’architecture, d’urbanisme et d’environnement de l’Aude a conclu que les éoliennes n’avaient pas d’impact significatif sur le marché de l’immobilier. Ce département est pourtant l’un de ceux qui comptent la plus forte concentration de parcs éoliens en France.
L’exploitation d’un parc éolien génère des retombées économiques et fiscales pour la collectivité, à travers la Taxe Foncière sur les Propriétés Bâties (TFPB), la Cotisation Foncière des Entreprises (CFE), la Cotisation sur la Valeur Ajoutée des Entreprises (CVAE) et l’Imposition Forfaitaire pour les Entreprises de Réseau (IFER) qui remplacent la taxe professionnelle. Ces recettes fiscales permettent à la collectivité d’améliorer le cadre de vie des habitants.
Ainsi, les taxes perçues par la commune qui possède un parc éolien lui permettent d’améliorer les équipements communaux et donc son standing. La conséquence est une valorisation de l’immobilier.
Ce phénomène d’amélioration du standing s’observe en particulier dans la petite commune rurale qui, avec l’implantation d’un parc éolien, va être dynamisée amorçant ainsi la spirale inverse. Mais ce phénomène peut s’observer partout où les retombées économiques directes et indirectes vont permettre l’amélioration des équipements ou des services communaux.

Comment un parc éolien est-il raccordé au réseau existant ?
Comment un parc éolien est-il raccordé au réseau existant ?
Pour que l’électricité produite puisse être utilisée par des consommateurs, les éoliennes doivent être raccordées au réseau électrique existant.
L’opération de raccordement est un préalable à l’accès au réseau, dont la transparence est garantie par la Commission de régulation de l’énergie (CRE). Pour cela, les professionnels éoliens travaillent en permanence avec les gestionnaires du réseau électrique et les institutions chargées de ce sujet afin de répondre aux défis posés par le développement des énergies renouvelables. Il faut pouvoir garantir l’injection sur le réseau de ces nouvelles productions d’électricité.
L’énergie électrique produite par les éoliennes sera transportée, via des câbles souterrains, jusqu’à un poste de livraison, installé sur site à proximité des éoliennes. L’électricité est ensuite acheminée vers un poste source du gestionnaire de réseau de distribution d’électricité et en capacité d’accueillir la puissance installée des éoliennes.
Le gestionnaire de réseau de distribution est le seul décisionnaire du tracé de raccordement entre le poste de livraison et le poste source, dont la liaison est enterrée. L’enfouissement des câbles se fait en grande majorité le long des chemins et routes existants et à créer pour la desserte des éoliennes. Aucune ligne électrique aérienne n’est construite.
Une fois acheminée au poste source, l’électricité produite est redistribuée sur le réseau national de distribution.